Seconde île de la Méditerranée en superficie, la Sardaigne
est un paradis pour la randonnée, sur ses côtes splendides qui alternent
falaises et criques rocheuses, mais aussi à travers ses collines et reliefs
montagneux qui recèlent canyons, gouffres, sentiers de trek et villages
pittoresques. Ile italienne forgée par une Histoire mouvementée, la Sardaigne promet
des voyages intenses.
Randonnée en Sardaigne
Seconde île de la Méditerranée en superficie, la Sardaigne
est un paradis pour la randonnée, sur ses côtes splendides qui alternent
falaises et criques rocheuses, mais aussi à travers ses collines et reliefs
montagneux qui recèlent canyons, gouffres, sentiers de trek et villages
pittoresques. Ile italienne forgée par une Histoire mouvementée, la Sardaigne promet
des voyages intenses.
Quand partir en Sardaigne ?
Le climat de la Sardaigne est de type méditerranéen,
avec des étés chauds atténués par les brises marines et des températures
pouvant atteindre 38 °C en juillet et août. Les hivers sont tempérés (10 °C en
moyenne), mais beaucoup plus rigoureux dans le centre (montagneux) de l’île.
L’ensoleillement est en moyenne de 300 jours par an, et on peut se baigner
d’avril à octobre.
Le printemps et l’automne sont les
saisons idéales pour découvrir la Sardaigne à pied. En été, il vaut mieux
démarrer les visites et randonnées plus tôt le matin, ce qui permet aussi de
profiter de la baignade en mer, dont la température est parfaite en cette période.
Que faire, que visiter en Sardaigne ?
Avec trois parcs nationaux, quatre
parcs régionaux, des réserves naturelles et marines, la Sardaigne est une
fantastique île à découvrir en randonnée, en trek et à vélo, entre reliefs et
littoral sauvages et préservés.
Côté
montagnes, le parc national du golfe d’Orosei et du Gennargentu, qui culmine à la punta Lamarmora (1834 m), plus haut
sommet de Sardaigne, abrite des paysages, faune et flore remarquables. Au
Supramonte d’Oliena, un massif dolomitique, le monte Corrasi (1463
m) est le spot de prédilection des
randonneurs de la région. La visite du site nuragique de Tiscali, à proximité,
complète le voyage. Le spectaculaire canyon de Su Gorropu propose au randonneur
un parcours original entre ses parois hautes de 400 mètres. Du parc du
Gennargentu, où prospère une faune riche et diversifiée, au golfe d’Orosei, on
trouve le même relief de falaises et de plateaux tourmentés. Les trekkeurs
aguerris se mesureront à l’un des itinéraires les plus exigeants de la Sardaigne,
voire d’Europe, le Selvaggio Blu, qui longe en balcon sur 45 km les eaux
turquoise du golfe d’Orosei.
Côté
mer, les randonnées
dans le nord de la Sardaigne égrènent les criques escarpées et les plages de
sable des parcs nationaux de l’archipel de La Maddalena, face à la costa Smeralda, et de l’île sauvage d’Asinara
à l’ouest. De même jusqu’au golfe d’Orosei et au-delà, sur la côte est, où les villages
de pêcheurs succèdent aux plages immaculées accessibles seulement par la mer ou
par des chemins de randonnée, d’où leur exceptionnelle préservation. La grotte
du Bue Marino, où l’on arrive à pied depuis la cala Fuili, s’ouvre sur
la falaise calcaire et se prolonge par un lac souterrain sous le plateau
karstique du Supramonte. Stalactites, rivières souterraines et gravures
rupestres enchantent le voyageur. Autres lieux réputés et accessibles aux
randonneurs, les plages qui s’échelonnent le long de la côte : cala
Gonone, cala Luna, cala Goloritze... où les fonds marins abondent
en coraux, poissons et crustacés.
Côté
Histoire, avec 9
000 sites archéologiques, la Sardaigne est une île idéale pour des treks et randonnées sur les traces des civilisations de la Méditerranée : Phéniciens, Carthaginois, Romains, Arabes, Génois, Pisans,
Catalans, maison de Savoie et Français s’y sont succédé. Les mystérieux peuples
nuragiques, apparus uniquement en Sardaigne au IIe millénaire avant
J.-C., n’ont laissé aucun écrit mais des statuettes votives, sculptures de
bronze et monuments, dont près de 7 000 tours nuraghes. Partout en Sardaigne,
un trek ou une randonnée devient aussi un voyage dans le temps.
Comment aller en Sardaigne ?
L’avion est le mode de transport le
plus rapide pour se rendre en Sardaigne, avec des vols à destination de deux
aéroports : Olbia, dans le nord de l’île, et Cagliari, dans le sud.
On peut également aller en Sardaigne en bateau,
vers les ports de Porto Torres, Olbia et Cagliari, au départ de France (Marseille,
Toulon, Nice, Corse) ou d’Italie (Gênes, Livourne, Naples).
Randonnée : pour aborder une région ou un pays en profondeur.
Marches en traversée ou en boucle, faciles d'accès.
Niveau 2 : marche de 4 à 5 heures les jours de randonnée, sur chemin, piste, sentier ou parcours vallonné.
Niveau 3 : (en moyenne) marche de 5 heures par jour sur sentier et/ou 600 à 800 mètres de dénivelée positive environ et/ou 15 kilomètres.
Niveau 4 : (en moyenne) marche de 6 heures par jour sur sentier et hors sentier et/ou 700 à 1 000 mètres de dénivelée positive environ et/ou 15 à 18 kilomètres. Possibilité de passages en altitude.
Niveau 5 : marche de plus 6 heures hors sentier ou en terrain accidenté, avec plus de 1000 mètres de dénivelée positive (et/ou 20 km).
Possibilité de passages en altitude.
Niveau 6 : (en moyenne) marche engagée de 7 à 8 heures par jour hors sentier ou sur terrain accidenté, avec plus de 1 000 mètres de dénivelée positive et/ou 20 kilomètres. Possibilité de passages en altitude.
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Une semaine de randonnées entre falaises et criques du golfe d’Orosei, et du canyon de Gorropu au sommet de la punta Corrasi (1463 m).
Découverte : pour découvrir les sites les plus intéressants du pays ou de la région. Balades faciles à la journée, avec assistance de véhicule et/ou hébergements fixes.
Niveau 1 : Marche de moins de 4 heures les jours de randonnée, sur chemin, piste, ou sentier, accessible à toute personne aimant la marche et en bonne forme physique.
Niveau 2 : marche de 4 à 5 heures les jours de randonnée, sur chemin, piste, sentier ou parcours vallonné.
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Une itinérance douce adaptée à toute la famille, à la découverte du nord de l’île et de l'archipel de La Maddalena.
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Niveau 2 : marche de 4 à 5 heures les jours de randonnée, sur chemin, piste, sentier ou parcours vallonné.
Niveau 3 : (en moyenne) marche de 5 heures par jour sur sentier et/ou 600 à 800 mètres de dénivelée positive environ et/ou 15 kilomètres.
Niveau 4 : (en moyenne) marche de 6 heures par jour sur sentier et hors sentier et/ou 700 à 1 000 mètres de dénivelée positive environ et/ou 15 à 18 kilomètres. Possibilité de passages en altitude.
Niveau 5 : marche de plus 6 heures hors sentier ou en terrain accidenté, avec plus de 1000 mètres de dénivelée positive (et/ou 20 km).
Possibilité de passages en altitude.
Niveau 6 : (en moyenne) marche engagée de 7 à 8 heures par jour hors sentier ou sur terrain accidenté, avec plus de 1 000 mètres de dénivelée positive et/ou 20 kilomètres. Possibilité de passages en altitude.
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