
Zambie
Et vous serez séduit par sa population chaleureuse.

Repères
Population |
14,5 millions d’habitants. |
Superficie |
746 000 km2. |
Capitale |
Lusaka. |
Villes principales |
Ndola, Kitwe, kabwe. |
Point culminant |
Mafinga Hills (2 300 m). |
Langue officielle |
anglais. |
Religions |
chrétiens (97 %). |
Décalage horaire |
par rapport à la France,
une heure de plus de novembre à mars, même heure d’avril à octobre. UTC/GMT : + 2 h. |
Géographie
Sans accès à la mer, la Zambie est bordée par le Congo au nord, la Tanzanie au nord-est, la Malawi à l’est, le Mozambique au sud-est, le Zimbabwe, la Namibie et le Botswana au sud, l’Angola à l’ouest.
Pays de
collines et de plateaux entre 1 200 et 1 500 mètres d’altitude, où quelques sommets dépassent
les 2 000 mètres, la Zambie est le domaine de la forêt claire, ou miombo
(arbres à feuilles caduques peu serrées et couverture herbeuse), et de la savane. De larges zones
périodiquement inondées occupent les dépressions : ouest du pays,
cuvette du lac Bangweulu. La Zambie est traversée par le
Zambèze et ses affluents — la Kafue et la Luangwa —, et parsemée de quelques lacs — Bangweulu, Moero, Tanganyika, Kariba.
Climat
La saison sèche s’étend de fin mai à début
octobre, c’est l’idéal pour observer la faune (il peut
faire extrêmement chaud en octobre). Le temps est généralement sec en
juin, juillet et août, avec des températures plus fraîches et des nuits parfois froides. La saison des pluies, ou saison “émeraude”, s’étend de décembre à avril, le paysage est luxuriant.
Pays de collines et de plateaux entre 1 200 et 1 500 mètres d’altitude, où quelques sommets dépassent les 2 000 mètres, la Zambie est le domaine de la forêt claire, ou miombo (arbres à feuilles caduques peu serrées et couverture herbeuse), et de la savane. De larges zones périodiquement inondées occupent les dépressions : ouest du pays, cuvette du lac Bangweulu. La Zambie est traversée par le Zambèze et ses affluents — la Kafue et la Luangwa —, et parsemée de quelques lacs — Bangweulu, Moero, Tanganyika, Kariba.
Bon à savoirInformations pratiques
Les chefs de village
conservent une influence majeure et sont l'objet d'un grand respect. Au niveau local, ils régulent la vie quotidienne des villages et exercent les décisions de justice. Mais ils agissent aussi en tant que porte-parole et conseil de la collectivité auprès du gouvernement, et ont droit de regard et de décision sur les projets de développement envisagés sur leurs terres. La Chambre des chefs coutumiers siège au Parlement de Lusaka.
conservent une influence majeure et sont l'objet d'un grand respect. Au niveau local, ils régulent la vie quotidienne des villages et exercent les décisions de justice. Mais ils agissent aussi en tant que porte-parole et conseil de la collectivité auprès du gouvernement, et ont droit de regard et de décision sur les projets de développement envisagés sur leurs terres. La Chambre des chefs coutumiers siège au Parlement de Lusaka.
Les guérisseurs
Les coutumes traditionnelles sont vivaces ainsi que celles liées à la
pratique de la médecine traditionnelle. Les guérisseurs exercent en
général dans les villages, mais on peut aussi parfois les consulter en
ville, comme au marché Soweto de Lusaka. La médecine traditionnelle
implique l'utilisation de plantes, de parties d'animaux ou de minéraux
pour des thérapies axées sur la spiritualité et l'art divinatoire. La
Zambie a même testé, sous contrôle de médecins, l'efficacité de remèdes à
base de plantes, proposés par des guérisseurs.
Les langues usitées
L'anglais, langue officielle, est parlé dans tout le pays, à l'exception
des régions rurales les plus reculées. Sept autres langues sont
reconnues officiellement par le gouvernement : le bemba, le kaonde, le
lozi, le lunda, le luvale, le tonga et, surtout, le nyanja.
Le bemba est parlé par 2,5 millions de Zambiens dans les régions rurales du nord de la Zambie, dans la Copperbelt et à Lusaka.
Le kaonde est parlé par 200 000 personnes au nord du parc Kafue.
Le lozi est pratiqué par 650 000 personnes dans les provinces de l'Ouest et du Sud.
Le lunda est la langue de 230 000 Zambiens, de la Copperbelt et des
frontières de la République démocratique du Congo et de l'Angola.
Le nyanja est la langue bantoue la plus fréquemment usitée. Plus d'1
million de Zambiens la parlent à travers tout le pays, y compris à
Lusaka et Livingstone. Elle est largement utilisée par la police, dans
les administrations et les écoles.
Le luvale est utilisé par 220 000 Zambiens des provinces de l'Ouest et du Nord-Ouest.
Le tonga est parlé par plus d'un million de personnes au sud du pays,
avec une très forte concentration dans la vallée du Zambèze.
Le chibuku
C'est la boisson nationale dont les Zambiens raffolent (mais assez étrange pour les papilles européennes), une sorte de bière épaisse, bon marché, faite à partir de graines de maïs ou de sorgho. Si vous goûtez au chibuku, qui n'est généralement pas servi aux touristes, vous ravirez vos amis zambiens, qui s'amuseront sûrement de vos grimaces. Pour une envie de vraie bière, nous vous conseillons la Mosi, une blonde locale légère et savoureuse.
Les caterpillars
Vous les verrez parfois au menu des restaurants locaux, et même
proposées en dégustation lors de repas traditionnels préparés pour le
touriste : marron, collantes, ce sont les chenilles (ou vers de mopane) !
Grillées au feu de bois, c'est une grande source de protéines, et c'est
probablement la plus étrange expérience culinaire que vous pourrez
faire, plus pour la consistance que pour le goût.
Le bush
désigne plus largement la brousse, paysage composé de buissons et
arbustes épineux et d'acacias épars. C'est le paysage dominant de la
majeure partie du pays.
Le boma
Atre improvisé
en plein air, entouré de fauteuils, où l'on sirote un apéritif ou un
café après le dîner. Dans les villages, on peut aussi appeler boma la
case où sont accueillis les invités pour la dégustation d'un repas
traditionnel.
Le Fish eagle
L'aigle pêcheur d'Afrique, également appelé pygargue vocifère, est l'oiseau emblématique de la Zambie. Son image figure sur le drapeau national et sur les billets de banque. On peut l'apercevoir dans tous les cieux de la savane, le plus souvent perché au sommet d'un arbre. Sa tête et sa queue sont blanches, ses ailes et son dos sont noirs, tandis que son ventre est de couleur noisette, son bec est jaune et noir. Il ne se déplace qu'en couple. En vol, il peut atteindre jusqu'à 2 m d'envergure.
Le Zambèze
Le quatrième plus grand fleuve d'Afrique traverse le sud du pays d'ouest en
est, et propose aux voyageurs
les paysages parmi les plus grandioses du continent, des chutes
Victoria à la vallée du Zambèze en passant par le lac Kariba.
ZAWA
Ce sigle que vous verrez à l'entrée des parcs nationaux désigne la
Zambia Wildlife Authority Association, l'autorité zambienne en matière
d'observation et de conservation de la faune sauvage. La ZAWA intervient
dans la gestion des parcs naturels, dans la lutte contre le braconnage
et dans les mesures de préservation des espèces. Elle définit les quotas
de chasse autorisée. C'est également elle qui a mis en place les
mesures de surveillance des oiseaux migrateurs dans le contexte de lutte
contre la grippe aviaire. La grande réussite des missions de la ZAWA
repose en partie sur l'implication des communautés locales qu'elle
sensibilise à la protection de l'environnement, tout en leur fournissant
des emplois.
Les horaires
La chose peut surprendre, mais les Zambiens sont généralement ponctuels. Aussi, ne soyez pas étonné de voir arrivé votre chauffeur de taxi en avance ou de vous faire houspiller si vous retardez le départ du bus !
Tension électrique : 220 - 240 V, 50 Hz. Prévoyez un adaptateur pour les prises électriques.
Que doivent prévoir les amateurs de photos ?
Prévoir une autonomie suffisante, car il n’est pas toujours possible de recharger les batteries.
Tourisme responsableLe respect des us et coutumes
Dès leur tout jeune âge, les Zambiens se considèrent comme
membres d’un clan, d’un groupe très lié. Ils accordent beaucoup d’importance à la famille et à la communauté, dans laquelle chaque individu a un rôle et une place bien
déterminés qui lui sont impartis en fonction
de son âge, sa sagesse, son appartenance familiale, son origine
sociale... Il est extrêmement difficile de transgresser ces lois communes à toutes les ethnies. Actuellement, le Zambien se trouve confronté à un dualisme culturel, partagé entre le souci
de conserver son identité traditionnelle et le désir de s'intégrer à un
monde en pleine mutation fortement influencé par les valeurs
occidentales.
Voici quelques conseils pour respecter au mieux ces populations et leurs cultures :
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Dans les villages, préférez une tenue ample couvrant les épaules.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue
vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y pénétrer lorsque cela est
interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos chaussures ou couvrez-vous
la tête à l'entrée des sites religieux lorsque cela est demandé.
— Les attitudes démonstratives en couple sont perçues comme inconvenantes.
— Ne distribuez jamais de bonbons, stylos ou autres cadeaux, en
particulier aux enfants, car ce comportement les incite à la mendicité, à
abandonner l'école ou leur activité habituelle. Si vous souhaitez faire
un don, il est préférable et plus utile de le faire auprès d'une
organisation locale : association, école, dispensaire. Demandez à votre
guide, qui vous indiquera le lieu le plus approprié.
Ces précautions favorisent les échanges.
Les conseils de Jonathan, notre partenaire en Zambie
— Saluez avec la main droite uniquement.
La préservation de l'environnement
La préservation de l'environnement
Avec une
densité de peuplement très faible, la Zambie est relativement exempte
des problèmes d'environnement liés à la surpopulation. Elle doit
cependant faire face à la déforestation due à l'exploitation intensive
des bois de mopane, de miombo et surtout de teck. Dans les années 1970 et 1980, les parcs nationaux, qui couvrent 30 % du
territoire, furent un terrain de jeu privilégié pour les
braconniers, et les éléphants payèrent un
lourd tribut ; on
estime que 90 % de la population d'éléphants aurait été décimée. En 1990, la Cites
(Convention sur le commerce international des espèces menacées
d'extinction) interdit le commerce de l'ivoire ; des rangers sont
mobilisés et, grâce aux efforts conjugués du gouvernement et
des organismes de protection de la nature, les populations se sont peu à
peu reconstituées.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine
naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur
historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que
nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles,
lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui
ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les
grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Portez une attention particulière à la gestion de vos déchets dans les campements, afin de ne pas dégrader l'environnement :
- respectez le tri proposé par l'équipe d'accompagnement ;
- brûlez le papier toilette utilisé dans son intégralité.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses
parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations
locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs
rares, fruits, etc.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous
recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la
chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
Comment réduire votre empreinteComment réduire votre
empreinte carbone ?
Vous pouvez participer à la
réduction des émissions de gaz à effet de serre en versant le montant de la
compensation des émissions de CO2 liées à votre vol sur le site du GERES :
http://www.co2solidaire.org/fr/component/hob_co2/?view=calculateur.
A titre d'exemple, voici le montant de la compensation pour un vol aller et
retour vers
la Zambie : Paris - Lusaka, 78 €.
Voici quelques conseils pour respecter au mieux ces populations et leurs cultures :
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Dans les villages, préférez une tenue ample couvrant les épaules.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y pénétrer lorsque cela est interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos chaussures ou couvrez-vous la tête à l'entrée des sites religieux lorsque cela est demandé.
— Les attitudes démonstratives en couple sont perçues comme inconvenantes.
— Ne distribuez jamais de bonbons, stylos ou autres cadeaux, en particulier aux enfants, car ce comportement les incite à la mendicité, à abandonner l'école ou leur activité habituelle. Si vous souhaitez faire un don, il est préférable et plus utile de le faire auprès d'une organisation locale : association, école, dispensaire. Demandez à votre guide, qui vous indiquera le lieu le plus approprié.
Ces précautions favorisent les échanges.
Les conseils de Jonathan, notre partenaire en Zambie
— Saluez avec la main droite uniquement.
La préservation de l'environnement
La préservation de l'environnement
Avec une
densité de peuplement très faible, la Zambie est relativement exempte
des problèmes d'environnement liés à la surpopulation. Elle doit
cependant faire face à la déforestation due à l'exploitation intensive
des bois de mopane, de miombo et surtout de teck. Dans les années 1970 et 1980, les parcs nationaux, qui couvrent 30 % du
territoire, furent un terrain de jeu privilégié pour les
braconniers, et les éléphants payèrent un
lourd tribut ; on
estime que 90 % de la population d'éléphants aurait été décimée. En 1990, la Cites
(Convention sur le commerce international des espèces menacées
d'extinction) interdit le commerce de l'ivoire ; des rangers sont
mobilisés et, grâce aux efforts conjugués du gouvernement et
des organismes de protection de la nature, les populations se sont peu à
peu reconstituées.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine
naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur
historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que
nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles,
lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui
ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les
grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Portez une attention particulière à la gestion de vos déchets dans les campements, afin de ne pas dégrader l'environnement :
- respectez le tri proposé par l'équipe d'accompagnement ;
- brûlez le papier toilette utilisé dans son intégralité.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses
parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations
locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs
rares, fruits, etc.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous
recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la
chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
Comment réduire votre empreinteComment réduire votre
empreinte carbone ?
Vous pouvez participer à la
réduction des émissions de gaz à effet de serre en versant le montant de la
compensation des émissions de CO2 liées à votre vol sur le site du GERES :
http://www.co2solidaire.org/fr/component/hob_co2/?view=calculateur.
A titre d'exemple, voici le montant de la compensation pour un vol aller et
retour vers
la Zambie : Paris - Lusaka, 78 €.
Avec une densité de peuplement très faible, la Zambie est relativement exempte des problèmes d'environnement liés à la surpopulation. Elle doit cependant faire face à la déforestation due à l'exploitation intensive des bois de mopane, de miombo et surtout de teck. Dans les années 1970 et 1980, les parcs nationaux, qui couvrent 30 % du territoire, furent un terrain de jeu privilégié pour les braconniers, et les éléphants payèrent un lourd tribut ; on estime que 90 % de la population d'éléphants aurait été décimée. En 1990, la Cites (Convention sur le commerce international des espèces menacées d'extinction) interdit le commerce de l'ivoire ; des rangers sont mobilisés et, grâce aux efforts conjugués du gouvernement et des organismes de protection de la nature, les populations se sont peu à peu reconstituées.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Evitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que nous sommes seulement invités dans son propre territoire.
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Evitez de laisser les déchets difficile à recycler (tels piles, lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Portez une attention particulière à la gestion de vos déchets dans les campements, afin de ne pas dégrader l'environnement :
- respectez le tri proposé par l'équipe d'accompagnement ;
- brûlez le papier toilette utilisé dans son intégralité.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs rares, fruits, etc.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
Vous pouvez participer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre en versant le montant de la compensation des émissions de CO2 liées à votre vol sur le site du GERES : http://www.co2solidaire.org/fr/component/hob_co2/?view=calculateur.
A titre d'exemple, voici le montant de la compensation pour un vol aller et retour vers la Zambie : Paris - Lusaka, 78 €.