Des retombées économiques partagées

Le voyage à pied, lorsqu’il est pensé avec exigence, est un formidable levier de développement pour les territoires. Il génère des retombées économiques concrètes dans les zones rurales et de montagne. Chez Allibert Trekking, nous en avons d'autant plus conscience que notre histoire est née au pied du mont Granier, en Chartreuse. Depuis toujours, nous croyons à un tourisme d’aventure qui crée de la valeur là où il passe, sans dénaturer ce qu’il vient découvrir.
porteurs et guides Kilimandjaro

L’aventure n’a de sens que si elle profite aussi à ceux qui vivent dans les régions que nous traversons.

Derrière chaque itinéraire conçu par Allibert Trekking, il y a des visages, des savoir-faire, des emplois locaux. 

À titre d’exemple, une ascension du Kilimandjaro par la voie Machame pour un groupe de 10 personnes représente, sur 7 jours, le travail coordonné de :

  • 2 guides,

  • 3 assistants-guides,

  • 2 cuisiniers,

  • 30 porteurs.

Soit près de 40 personnes employées, sur un seul départ.

Dans un pays comme la Tanzanie, où le revenu annuel moyen par habitant reste inférieur à 1 200 $ US, cette économie du trekking est un moteur essentiel.

À notre échelle, nous veillons à ce que cet impact soit le plus juste possible. Cela passe par des rémunérations équitables, une vigilance portée aux conditions de travail (logement, repas, équipement), et un dialogue régulier avec nos partenaires locaux.
 

Nos accords tarifaires sont révisés chaque année pour garantir un respect strict du droit social, en particulier dans les pays où le PIB par habitant est inférieur à 10 000 $.
 

Du Local à tous les étages
 

Cette attention se prolonge dans toutes les composantes de nos voyages. Chaque fois que cela est possible, nous faisons le choix du local :

  • Avec des équipes issues des régions traversées, notamment en France, où nos accompagnateurs travaillent en priorité sur leur propre territoire ;
     
  • Avec le choix d'hébergements indépendants : familiaux, des gîtes de petite taille, plutôt que des chaînes internationales ;
     
  • Avec notre association avec des acteurs locaux, dans le but de privilégier les circuits courts et l'ancrage local de nos voyages.

Dans les Alpes du Sud, nous avons par exemple rejoint le réseau des éco-acteurs , avec lequel nous travaillons à proposer une forme de tourisme où chaque dépense est pensé de façon locale et circulaire. Cela se traduit concrètement par des pique-niques  préparés avec des produits locaux, des expériences immersives auprès de celles et ceux qui habitent les territoires...

 

 

Cet ancrage local se traduit également par la labelisation Esprit Parc National de six de nos circuits alpins. Ces références répondent à un cahier des charges faisant la part belle à des produits et services locaux issus des parcs :

 

Dans les régions isolées, la venue régulière deS petits groupes Allibert Trekking participe réellement à la dynamique économique des villages.
 

Du mécénat pour Soutenir durablement ceux qui agissent

  • Protection de l’enfance,

  • Formation professionnelle,

  • Développement économique local,

  • Préservation des patrimoines culturels et naturels...

Allibert Trekking mécène directement plusieurs associations, actives dans les régions où nous marchons, et soutient par ailleurs d'autres projets à travers sa participation financière au Fonds solidaire Insolite Bâtisseur – Philippe Romero.