
Népal
Au fil des chemins, rythmés par de nombreuses manifestations de la vie religieuse (moulins, murs, drapeaux à prières, monastères...), vous rencontrez la population népalaise. Depuis des siècles, paysans, écoliers, moines, empruntent ces itinéraires très fréquentés jusqu’aux derniers villages habités. Que vous soyez passionné de culture, ou que vous souhaitiez gravir des sommets mythiques, le sanctuaire du trekking vous réserve bien des surprises ! !

Repères
Population |
29,3 millions d’habitants. |
Superficie |
147 181 km2. |
Capitale |
Kathmandu. |
Villes principales |
Biratnagar, Patan, Pokhara, Birgunj, Dharan. |
Points culminants |
Everest (8850 m), Annapurna I (8091 m). |
Langues |
népali (off.), hindi, anglais, dialectes. |
Religions |
hindouisme (81 %), bouddhisme (11 %), islam (4 %), autres (4 %). |
Décalage horaire |
par rapport à la France, 4 heures et 45 minutes de plus d’avril à octobre, 5 heures et 45 minutes de novembre à mars. UTC/GMT : + 5 h 45. |
Géographie
Petit pays long de 800 kilomètres pour environ 200 kilomètres de large, le Népal, en forme de trapèze, est enclavé entre l’Inde et la Chine avec lesquelles il partage 2 810 kilomètres de frontières. Le Népal peut être divisé en trois zones grossièrement orientées d’est en ouest :
- la zone montagneuse
où se trouvent quelques-uns des plus
hauts sommets du monde (Everest, Makalu, Dhaulagiri, Annapurna) ; près
de 250 sommets de plus de 7 000 mètres ont été recensés ;
- la zone des collines ;
- et les plaines du Teraï.
L’altitude varie de 60 mètres dans le Teraï à 8 850 mètres (Everest).
Climat
Le Népal est soumis à un régime de mousson qui conditionne le choix des zones de trekking en fonction des saisons :
— le printemps, de mars à mi-mai, est idéal pour assister à l’explosion
de la végétation, notamment des rhododendrons, autour des Annapurnas et
vers le camp de base de l’Everest. Le ciel est généralement dégagé en
matinée, la nébulosité marquée dans l’après-midi. Plus on avance vers
le mois de mai (mousson), plus les nuages s’élèvent tôt ;
— l’été,
de juillet à septembre, permet de découvrir les régions du Mustang et
du Dolpo, seules parties du Népal à l’abri de la mousson ;
— l’automne, de mi-octobre à mi-décembre, offre des conditions optimales
dans tous les massifs. Beau temps en
général, plus froid en altitude à l’approche de l’hiver (possibilité de
neige). Depuis plusieurs années, nous constatons un net décalage de la
mousson, avec des précipitations encore abondantes en octobre ;
— l’hiver,
de mi-décembre à fin février, le froid est sec, le ciel dégagé,
l’ensoleillement important... De nombreux avantages, sans l’affluence
touristique.
A titre d’exemple, températures relevées lors du
franchissement du col du Thorong La sur le tour des Annapurnas à Noël
2008 : – 15 °C au petit jour et – 12 °C au col proprement dit. Pas de
neige sur le sentier.
— Les treks en moyenne altitude (entre 2000 et 3700 m) sont parfaits pour une découverte hivernale : temps doux, végétation luxuriante, villages animés.
- la zone montagneuse où se trouvent quelques-uns des plus hauts sommets du monde (Everest, Makalu, Dhaulagiri, Annapurna) ; près de 250 sommets de plus de 7 000 mètres ont été recensés ;
- la zone des collines ;
- et les plaines du Teraï.
L’altitude varie de 60 mètres dans le Teraï à 8 850 mètres (Everest).
— le printemps, de mars à mi-mai, est idéal pour assister à l’explosion de la végétation, notamment des rhododendrons, autour des Annapurnas et vers le camp de base de l’Everest. Le ciel est généralement dégagé en matinée, la nébulosité marquée dans l’après-midi. Plus on avance vers le mois de mai (mousson), plus les nuages s’élèvent tôt ;
— l’été, de juillet à septembre, permet de découvrir les régions du Mustang et du Dolpo, seules parties du Népal à l’abri de la mousson ;
— l’automne, de mi-octobre à mi-décembre, offre des conditions optimales dans tous les massifs. Beau temps en général, plus froid en altitude à l’approche de l’hiver (possibilité de neige). Depuis plusieurs années, nous constatons un net décalage de la mousson, avec des précipitations encore abondantes en octobre ;
— l’hiver, de mi-décembre à fin février, le froid est sec, le ciel dégagé, l’ensoleillement important... De nombreux avantages, sans l’affluence touristique. A titre d’exemple, températures relevées lors du franchissement du col du Thorong La sur le tour des Annapurnas à Noël 2008 : – 15 °C au petit jour et – 12 °C au col proprement dit. Pas de neige sur le sentier.
— Les treks en moyenne altitude (entre 2000 et 3700 m) sont parfaits pour une découverte hivernale : temps doux, végétation luxuriante, villages animés.
Bon à savoirInformations pratiques
Namaste !
Namaste est une expression que l’on utilise pour se saluer
partout et en toute occasion, qui veut dire aussi bien bonjour,
bienvenue, heureux de vous rencontrer, au revoir, bonne route, à
bientôt, etc. Mais la signification exacte de cette formule est, très précisément :
“Que l’ensemble de vos qualités soient bénies et protégées des dieux.”
Mains jointes et en s’inclinant, c’est ainsi que vous serez accueilli à
travers tout le Népal.
Lorsqu’on veut honorer tout particulièrement la personne à qui l’on s’adresse, namaste devient namaskar, qui marque une plus grande déférence.
Les vaches sacrées
Vous en verrez quelques-unes errer dans les rues de Katmandou. Nourries
par tout le monde, elles appartiennent à des paysans qui viennent les
chercher tous les soirs. Quand elles sont vieilles, leurs propriétaires
les laissent vagabonder en toute liberté. Si les Népalais ne les mangent
pas, ils consomment en revanche la viande de buffalo (buffle
d’eau). Les gens de haute caste se contentent, eux, de poulet ou de
chèvre, quand ils ne sont pas simplement végétariens.
Attention, si vous pilotez vous-même une moto, heurter une vache peut
vous conduire en prison. Et cela, même si la vache dort au beau milieu
de la route ; donc, prudence !
Le festival de Dasain
A la fin du mois de septembre ou au début du mois d’octobre selon le
calendrier lunaire, Dasain, la plus grande fête du Népal, donne lieu à
des festivités très populaires, un peu comme Noël chez nous. La fête
dure une dizaine de jours. Les enfants confectionnent à cette occasion
de magnifiques cerfs-volants. Le dernier jour ont lieu de nombreux
sacrifices d’animaux : béliers, boucs, buffles, coqs et canards. Ces
manifestations et le joyeux tohu-bohu qu’elles provoquent occasionnent
parfois quelques retards : soyez indulgents à cette période de l’année.
La puja
La puja est une cérémonie rituelle réalisée pour vénérer une divinité
représentée par une image, une statue ou un symbole. On appelle la
divinité par le tintement d’une clochette et on lui rend hommage en lui
offrant des fleurs, de la nourriture, de l’encens et de l’eau, tout en
récitant des mantras. Si la divinité est représentée sous la forme d’une
statue, on l’oint d’huile ou de pâte de santal ou on l’orne d’une
guirlande de fleurs. Dans la société hindoue, la puja est un acte essentiel à accomplir
chaque jour. Elle se déroule le plus souvent au temple.
Vous rencontrerez sur votre chemin de nombreux édifices religieux.
Voici la signification des principaux :
- le chorten symbolise l’image de Bouddha. Il contient souvent des reliques sacrées ;
- les murs de mani portent le mantra (prière) Om Mani Padme Um, gravé en sanscrit ;
- enfin, sonam, également un prénom courant, signifie le mérite
religieux qui s’obtient en contournant les édifices religieux par la
gauche et en offrant de nouvelles pierres de mani.
Peut-on rapporter tous types de souvenirs ?
Faire l’acquisition d’objets religieux authentiques et/ou d’objets d’art antiques est strictement réglementé. Mais vous trouverez dans toutes les boutiques de très belles reproductions à des tarifs raisonnables : thangkas (peintures religieuses), statues de Bouddha et tapis tibétains méritent votre intérêt. Les commerçants tibétains marchandent peu (10 % au maximum). Les Népalais ou Cachemiris (ils sont nombreux) pratiquent des prix plus élevés, mais on peut aller jusqu’à 30 % de remise.
Electricité
Tension électrique 220 V, 50 Hz. Prévoir un adaptateur pour les prises électriques.
Que doivent prévoir les amateurs de photos ?
Pour les appareils numériques, prévoyez une autonomie suffisante, car il n’est pas toujours possible de recharger les batteries.
Quelques mots utiles
A l’exception des porteurs, notre équipe locale parle l’anglais. En
toute situation, votre guide francophone sera là pour vous aider à
communiquer.
Apprendre quelques mots clés vous permettra de gagner le respect de vos interlocuteurs, et de rendre plus agréables vos échanges avec les Népalais. Alors n’hésitez pas à faire l’effort d’utiliser les expressions suivantes :
Bonjour et au revoir : namaste (mains jointes et inclinaison de la tête plutôt que poignée de mains).
Oui : ho. Non : hoïna.
Dhanyabaad, qui pourrait se traduire par “merci”, n’est pas un mot adapté pour remercier dans la vie courante. Il s’utilise dans une situation exceptionnelle, comme une marque de politesse très appuyée.
On utilise peu de formules de politesse au Népal. Il s’agit plutôt de gestes de respect, par exemple lorsque vous rencontrez un Népalais avec lequel vous souhaitez engager la conversation : mains jointes, mouvement de tête...
Vous pouvez demander à votre guide de vous apprendre quelques mots usuels, votre voyage n’en sera que plus riche. Et puis souriez, c’est souvent le meilleur moyen d’avoir de bons contacts !
Namaste est une expression que l’on utilise pour se saluer partout et en toute occasion, qui veut dire aussi bien bonjour, bienvenue, heureux de vous rencontrer, au revoir, bonne route, à bientôt, etc. Mais la signification exacte de cette formule est, très précisément : “Que l’ensemble de vos qualités soient bénies et protégées des dieux.” Mains jointes et en s’inclinant, c’est ainsi que vous serez accueilli à travers tout le Népal.
Lorsqu’on veut honorer tout particulièrement la personne à qui l’on s’adresse, namaste devient namaskar, qui marque une plus grande déférence.
Les vaches sacrées
Vous en verrez quelques-unes errer dans les rues de Katmandou. Nourries par tout le monde, elles appartiennent à des paysans qui viennent les chercher tous les soirs. Quand elles sont vieilles, leurs propriétaires les laissent vagabonder en toute liberté. Si les Népalais ne les mangent pas, ils consomment en revanche la viande de buffalo (buffle d’eau). Les gens de haute caste se contentent, eux, de poulet ou de chèvre, quand ils ne sont pas simplement végétariens.
Attention, si vous pilotez vous-même une moto, heurter une vache peut vous conduire en prison. Et cela, même si la vache dort au beau milieu de la route ; donc, prudence !
Le festival de Dasain
A la fin du mois de septembre ou au début du mois d’octobre selon le calendrier lunaire, Dasain, la plus grande fête du Népal, donne lieu à des festivités très populaires, un peu comme Noël chez nous. La fête dure une dizaine de jours. Les enfants confectionnent à cette occasion de magnifiques cerfs-volants. Le dernier jour ont lieu de nombreux sacrifices d’animaux : béliers, boucs, buffles, coqs et canards. Ces manifestations et le joyeux tohu-bohu qu’elles provoquent occasionnent parfois quelques retards : soyez indulgents à cette période de l’année.
La puja
La puja est une cérémonie rituelle réalisée pour vénérer une divinité représentée par une image, une statue ou un symbole. On appelle la divinité par le tintement d’une clochette et on lui rend hommage en lui offrant des fleurs, de la nourriture, de l’encens et de l’eau, tout en récitant des mantras. Si la divinité est représentée sous la forme d’une statue, on l’oint d’huile ou de pâte de santal ou on l’orne d’une guirlande de fleurs. Dans la société hindoue, la puja est un acte essentiel à accomplir chaque jour. Elle se déroule le plus souvent au temple.
Vous rencontrerez sur votre chemin de nombreux édifices religieux.
Voici la signification des principaux :
- le chorten symbolise l’image de Bouddha. Il contient souvent des reliques sacrées ;
- les murs de mani portent le mantra (prière) Om Mani Padme Um, gravé en sanscrit ;
- enfin, sonam, également un prénom courant, signifie le mérite religieux qui s’obtient en contournant les édifices religieux par la gauche et en offrant de nouvelles pierres de mani.
Peut-on rapporter tous types de souvenirs ?
Faire l’acquisition d’objets religieux authentiques et/ou d’objets d’art antiques est strictement réglementé. Mais vous trouverez dans toutes les boutiques de très belles reproductions à des tarifs raisonnables : thangkas (peintures religieuses), statues de Bouddha et tapis tibétains méritent votre intérêt. Les commerçants tibétains marchandent peu (10 % au maximum). Les Népalais ou Cachemiris (ils sont nombreux) pratiquent des prix plus élevés, mais on peut aller jusqu’à 30 % de remise.
Electricité
Tension électrique 220 V, 50 Hz. Prévoir un adaptateur pour les prises électriques.
Que doivent prévoir les amateurs de photos ?
Pour les appareils numériques, prévoyez une autonomie suffisante, car il n’est pas toujours possible de recharger les batteries.
Quelques mots utiles
A l’exception des porteurs, notre équipe locale parle l’anglais. En toute situation, votre guide francophone sera là pour vous aider à communiquer.
Apprendre quelques mots clés vous permettra de gagner le respect de vos interlocuteurs, et de rendre plus agréables vos échanges avec les Népalais. Alors n’hésitez pas à faire l’effort d’utiliser les expressions suivantes :
Bonjour et au revoir : namaste (mains jointes et inclinaison de la tête plutôt que poignée de mains).
Oui : ho. Non : hoïna.
Dhanyabaad, qui pourrait se traduire par “merci”, n’est pas un mot adapté pour remercier dans la vie courante. Il s’utilise dans une situation exceptionnelle, comme une marque de politesse très appuyée.
On utilise peu de formules de politesse au Népal. Il s’agit plutôt de gestes de respect, par exemple lorsque vous rencontrez un Népalais avec lequel vous souhaitez engager la conversation : mains jointes, mouvement de tête...
Vous pouvez demander à votre guide de vous apprendre quelques mots usuels, votre voyage n’en sera que plus riche. Et puis souriez, c’est souvent le meilleur moyen d’avoir de bons contacts !
Tourisme responsableLe respect des us et coutumes
Les populations himalayennes vivent dans un environnement âpre ; la vie
quotidienne y est rude. Il n'est donc pas surprenant que leurs croyances
et leurs coutumes soient étroitement associées aux cycles de la nature.
Leur ferveur religieuse est partout manifeste et le divin omniprésent
dans leur environnement. Les monuments religieux, les temples et les
monastères témoignent de la vitalité de leurs croyances et de leurs
coutumes ancestrales qui rythment la vie.
Dans les hautes montagnes, les travaux aux champs et les tâches
ménagères occupent toute la journée. Le paysan produit le strict
nécessaire pour nourrir sa famille et, avec un peu de chance, un petit
excédent qu'il s'empressera de vendre au marché. Le sens de la
communauté est très développé et le travail de la terre est souvent
accompli collectivement.
Vivre en Himalaya signifie marcher pour se déplacer et porter. Les
femmes et les enfants marchent pour aller chercher l'eau et le bois de
chauffage. Il faut marcher pour aller aux champs ou au prochain village.
Il faut aussi marcher pour aller au dispensaire ou au marché. Il faut
porter ou faire porter à dos d'homme ou de yack, les provisions et
marchandises diverses dont on a besoin.
Malgré l'extrême rudesse de la vie, les populations ont développé un
goût exceptionnel pour la fête, dont la plupart ont une connotation
religieuse. Les fêtes sont partout l'occasion de grandes réjouissances
auxquelles participe toute la population : Losar célèbre le nouvel an
tibétain, Dasain, la plus grande fête au Népal, célèbre la victoire de
la déesse Durga sur le démon-buffle, l'Indra Jatra à Katmandou souligne
la fin de la mousson, Biskhet Jatra à Bhaktapur célèbre le nouvel an. Au
rythme des tambours et des cymbales, moines et lamas, transformés en
danseurs personnifiant grands saints bouddhistes et démons, font revivre
les mystères et légendes centenaires. Par des chorégraphies minutieuses
et hautes en couleurs, ils relatent la lutte des premiers contre les
seconds et célèbrent la victoire du bien sur le mal.
Voici quelques conseils pour respecter au mieux ces populations et leurs cultures :
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Dans les villages, préférez une tenue ample couvrant les épaules.
— Au contact des populations de tradition bouddhiste, respectez les usages :
- contournez les stupas dans le sens des aiguilles d'une montre ;
- le feu est sacré, évitez d'y jeter les déchets ;
- lorsque vous vous asseyez, évitez d'étendre vos jambes et de diriger
vos pieds vers quelqu'un (entraînez-vous à vous asseoir en tailleur !) ;
- il est d'usage de faire une offrande de quelques roupies dans les sanctuaires et temples visités.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y
pénétrer lorsque cela est interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos
chaussures ou couvrez-vous la tête à l'entrée des sites religieux
lorsque cela est demandé.
— Les attitudes démonstratives en couple sont perçues comme inconvenantes.
— Ne distribuez jamais ni argent, ni sucreries, ni stylos, spécialement
aux enfants, afin de ne pas les inciter à la mendicité. Préférez les
dons à des associations, écoles, dispensaires ou autres organisations
reconnues.
Ces précautions favorisent
les échanges.
Les conseils de notre partenaire au Népal
— Ne pénétrez pas dans une cuisine.
— Ne mangez pas dans l’assiette, ni ne buvez dans le verre d’autrui,
considéré comme rituellement pollué. Dans le cas d’une bouteille
commune, buvez “à la régalade” et non directement à la bouteille.
— Si vous décidez de suivre la coutume locale en mangeant le plat national (dal bath) avec la main, utilisez la droite.
— Ne désignez pas quelqu’un ou même une statue du doigt.
— Le merci n’existe pas ! si vous offrez un cadeau, il ne sera jamais ouvert devant vous.
— Evitez certains contacts corporels (ne caressez jamais la tête d’un enfant, ne serrez pas la main d’une femme).
— Les Népalais posent beaucoup de questions, n’en soyez pas offensé.
— N'oubliez pas qu’un hochement de tête de gauche à droite (ou le contraire) signifie “oui, d’accord” !
La préservation de l'environnement
De la plaine du Teraï aux montagnes himalayennes, les paysages s’étagent
de 100 mètres à plus de 8 000 mètres d’altitude, offrant ainsi une
impressionnante variété. La végétation, adaptée à chaque milieu, est le
reflet de cet étagement : des jungles luxuriantes aux milieux
d’altitude, en passant par les forêts d’acacias, magnolias ou
rhododendrons odorants. Les cultures, notamment les rizières, marquent
fortement ces paysages.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Évitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine
naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur
historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que
nous sommes seulement invités dans son propre territoire. Lire notre
conseil de guide "La faune de montagne" https://www.allibert-trekking.com/197-respect-faune-montagne
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Évitez de laisser les déchets difficiles à recycler (tels piles,
lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui
ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les
grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Portez une attention particulière à la gestion de vos déchets dans les campements, afin de ne pas dégrader l'environnement :
— respectez le tri proposé par l'équipe d'accompagnement ;
— brûlez le papier toilette utilisé dans son intégralité.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses
parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations
locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs
rares, fruits, etc.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous
recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la
chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
Comment réduire votre empreinte
Comment réduire votre
empreinte carbone ?
Vous pouvez participer à la
réduction des émissions de gaz à effet de serre en versant le montant de la
compensation des émissions de CO2 liées à votre vol sur le site du GERES :
http://www.co2solidaire.org/fr/component/hob_co2/?view=calculateur.
A titre d'exemple, voici le montant de la compensation pour un vol aller et
retour vers le Népal : Paris - Kathmandu, 74 €.
Vivre en Himalaya signifie marcher pour se déplacer et porter. Les femmes et les enfants marchent pour aller chercher l'eau et le bois de chauffage. Il faut marcher pour aller aux champs ou au prochain village. Il faut aussi marcher pour aller au dispensaire ou au marché. Il faut porter ou faire porter à dos d'homme ou de yack, les provisions et marchandises diverses dont on a besoin.
Malgré l'extrême rudesse de la vie, les populations ont développé un goût exceptionnel pour la fête, dont la plupart ont une connotation religieuse. Les fêtes sont partout l'occasion de grandes réjouissances auxquelles participe toute la population : Losar célèbre le nouvel an tibétain, Dasain, la plus grande fête au Népal, célèbre la victoire de la déesse Durga sur le démon-buffle, l'Indra Jatra à Katmandou souligne la fin de la mousson, Biskhet Jatra à Bhaktapur célèbre le nouvel an. Au rythme des tambours et des cymbales, moines et lamas, transformés en danseurs personnifiant grands saints bouddhistes et démons, font revivre les mystères et légendes centenaires. Par des chorégraphies minutieuses et hautes en couleurs, ils relatent la lutte des premiers contre les seconds et célèbrent la victoire du bien sur le mal.
— Respectez l'espace personnel de vos hôtes, adaptez-vous aux usages de la culture locale.
— Photographier des personnes repose sur un échange, assurez-vous de leur accord.
— Dans les villages, préférez une tenue ample couvrant les épaules.
— Au contact des populations de tradition bouddhiste, respectez les usages :
- contournez les stupas dans le sens des aiguilles d'une montre ;
- le feu est sacré, évitez d'y jeter les déchets ;
- lorsque vous vous asseyez, évitez d'étendre vos jambes et de diriger vos pieds vers quelqu'un (entraînez-vous à vous asseoir en tailleur !) ;
- il est d'usage de faire une offrande de quelques roupies dans les sanctuaires et temples visités.
— Respectez les lieux de culte que vous visitez, portez une tenue vestimentaire adaptée et acceptez de ne pas y pénétrer lorsque cela est interdit ou lors des cérémonies. Retirez vos chaussures ou couvrez-vous la tête à l'entrée des sites religieux lorsque cela est demandé.
— Les attitudes démonstratives en couple sont perçues comme inconvenantes.
Ces précautions favorisent les échanges.
Les conseils de notre partenaire au Népal
— Ne pénétrez pas dans une cuisine.
— Ne mangez pas dans l’assiette, ni ne buvez dans le verre d’autrui, considéré comme rituellement pollué. Dans le cas d’une bouteille commune, buvez “à la régalade” et non directement à la bouteille.
— Si vous décidez de suivre la coutume locale en mangeant le plat national (dal bath) avec la main, utilisez la droite.
— Ne désignez pas quelqu’un ou même une statue du doigt.
— Le merci n’existe pas ! si vous offrez un cadeau, il ne sera jamais ouvert devant vous.
— Evitez certains contacts corporels (ne caressez jamais la tête d’un enfant, ne serrez pas la main d’une femme).
— Les Népalais posent beaucoup de questions, n’en soyez pas offensé.
— N'oubliez pas qu’un hochement de tête de gauche à droite (ou le contraire) signifie “oui, d’accord” !
La préservation de l'environnement
De la plaine du Teraï aux montagnes himalayennes, les paysages s’étagent
de 100 mètres à plus de 8 000 mètres d’altitude, offrant ainsi une
impressionnante variété. La végétation, adaptée à chaque milieu, est le
reflet de cet étagement : des jungles luxuriantes aux milieux
d’altitude, en passant par les forêts d’acacias, magnolias ou
rhododendrons odorants. Les cultures, notamment les rizières, marquent
fortement ces paysages.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Évitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine
naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur
historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que
nous sommes seulement invités dans son propre territoire. Lire notre
conseil de guide "La faune de montagne" https://www.allibert-trekking.com/197-respect-faune-montagne
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Évitez de laisser les déchets difficiles à recycler (tels piles,
lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui
ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les
grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Portez une attention particulière à la gestion de vos déchets dans les campements, afin de ne pas dégrader l'environnement :
— respectez le tri proposé par l'équipe d'accompagnement ;
— brûlez le papier toilette utilisé dans son intégralité.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses
parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations
locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs
rares, fruits, etc.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous
recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la
chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
Comment réduire votre empreinte
Comment réduire votre
empreinte carbone ?
Vous pouvez participer à la
réduction des émissions de gaz à effet de serre en versant le montant de la
compensation des émissions de CO2 liées à votre vol sur le site du GERES :
http://www.co2solidaire.org/fr/component/hob_co2/?view=calculateur.
A titre d'exemple, voici le montant de la compensation pour un vol aller et
retour vers le Népal : Paris - Kathmandu, 74 €.
Pour conserver ce patrimoine naturel d'exception :
— Respectez la réglementation en vigueur dans les parcs régionaux et nationaux.
— Évitez de rapporter des souvenirs qui font partie du patrimoine naturel et de prélever des objets archéologiques ou culturels à valeur historique.
— N'approchez pas la faune de trop près ; il ne faut pas oublier que nous sommes seulement invités dans son propre territoire. Lire notre conseil de guide "La faune de montagne" https://www.allibert-trekking.com/197-respect-faune-montagne
— Pensez toujours à ramasser vos papiers, mouchoirs, mégots, etc.
— Évitez de laisser les déchets difficiles à recycler (tels piles, lingettes, plastiques) dans les zones rurales ou les petits villages qui ne disposent pas de filière de recyclage. Rapportez-les dans les grandes villes ou ramenez- les avec vous.
— Portez une attention particulière à la gestion de vos déchets dans les campements, afin de ne pas dégrader l'environnement :
— respectez le tri proposé par l'équipe d'accompagnement ;
— brûlez le papier toilette utilisé dans son intégralité.
— L'eau nécessite un traitement, nous vous conseillons de la traiter avec des pastilles ou un filtre.
— Certaines régions que vous allez traverser abritent de nombreuses parcelles cultivées. Afin de préserver le travail des populations locales, ne quittez pas les sentiers et abstenez-vous de cueillir fleurs rares, fruits, etc.
— Lorsque vous disposez d'une climatisation individuelle, nous vous recommandons de l'arrêter systématiquement lorsque vous quittez la chambre pour éviter une surconsommation énergétique.
— Lorsque vous logez chez l'habitant, économisez l'énergie.
Vous pouvez participer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre en versant le montant de la compensation des émissions de CO2 liées à votre vol sur le site du GERES : http://www.co2solidaire.org/fr/component/hob_co2/?view=calculateur.
A titre d'exemple, voici le montant de la compensation pour un vol aller et retour vers le Népal : Paris - Kathmandu, 74 €.